L’investissement en SCPI reste l’un des derniers placements rémunérateurs, à l’heure où les livrets et autres placements monétaires le sont moins. Encore faut-il choisir une SCPI fiable et veiller à certains points pour éviter certaines déconvenues…
S’assurer d’un rendement dans le temps
L’un des premiers critères de choix d’une SCPI est bien évidemment son rendement, à condition qu’il s’inscrive dans la durée. L’investisseur a donc tout intérêt à s’orienter vers les SCPI de bureaux, ces locaux offrant de meilleurs rendements que les logements, et à s’assurer de la pérennité du rendement affiché.
La diversification des investissements de la SCPI est un facteur de sécurité, et par exemple une SCPI de bureaux répartissant ses actifs entre Ile de France et Province comme pfo 2 offrira une plus grande sérénité à ses acheteurs.
Et, même si les performances passées ne suffisent pas à garantir le rendement futur, un taux de rendement supérieur à 5 % sur une période de cinq ans est un bon indicateur de la régularité de la SCPI…
Se prémunir contre le risque de liquidité
Les parts de SCPI ne sont pas directement cotées en bourse, et il peut donc être délicat de les vendre si le marché en est trop étroit. Le risque est surtout présent pour les SCPI à capital fixe, pour lesquelles la transaction ne peut se concrétiser que s’il y a un acheteur pour les parts à vendre.
En revanche les SCPI à capital variable (telle que pfo 2, vous pouvez trouver toutes les informations nécessaires sur ce site), équivalent immobilier de ce que sont les SICAV pour les actions, offrent un marché plus actif, et permettent donc plus aisément à l’investisseur de récupérer son capital lorsqu’il le juge nécessaire.
Songer à la fiscalité
Les revenus distribués par une SCPI sont imposables et sont donc soumis, sauf cas particulier, au taux marginal d’imposition de leur détenteur ainsi qu’aux inévitables prélèvements sociaux (CSG, etc.). Même en prenant en compte la fiscalité, le rendement net d’une SCPI proposant un rendement brut de 5 % reste dans tous les cas de figure supérieur à l’inflation.
Il est de plus, possible d’optimiser sa fiscalité en empruntant pour acquérir les parts (afin de créer un déficit foncier à défalquer du rendement) ou en réalisant un démembrement temporaire de propriété en ne gardant pour soi que la nue-propriété et en déléguant temporairement l’usufruit (soit dans le cadre d’un montage financier, soit au profit d’un enfant moins imposé que soi que l’on aidera ainsi à démarrer dans la vie).